À Francine...
... merci d'être ce que tu es.
"Francin' quand elle te troue la peau
Ça te fait comme un trou au cœur
Comme une cascade dans le cerveau
Une bouffée d'air dans la douleur
Elle a toujours été si belle
Mais sans l'avoir jamais pensé
Et sans savoir qu'on ne voit qu'elle
Ses envoûtements nous font plier
Francin' quand elle bat des paupièr's
L'on se perd au fond de ses yeux
Ceux du félin, de la panthère
D'un vert puissant et lumineux
On aim'rait tous être la proie
De cette douce prédatrice
Et l'on voudrait, de nos émois
Satisfaire tous ses capric's
Francin' elle a cette façon d'être
Comme perdue au fond d'un miroir
Quand l'aiguille dans l'âme pénètre
Elle fait renaître un peu d'espoir
Mais je ne parle qu'un peu trop
Car là est toute mon erreur
Pour la décrir', non aucun mot
Ne peut définir sa lueur
Francin' quand elle te troue la peau
Ça te fait comme un trou au cœur
Comme une griffe, comme un frisson
Qui fait passer toute douleur."