J'ai du mal à comprendre...
... pourquoi ce poème m'est venu. J'ai tout pour être heureux.
Quand le coeur nous pèse
Comme le poids d'un océan,
La force d'une vive tempète
Et d'un cyclone se battant.
Je palpite dans ma chambre,
Je me repose ces questions,
Je revis les mêmes sentiments,
Cette maladie qu'est ma passion.
Le bonheur m'a toujours fui
Alors que je lui tendais la main,
Et plus jamais mon oeil ne luit.
Il n'y aura pas de demain.
Sans jamais lever la voix,
J'ai avancé, de mon côté.
Et, quand j'ai eu de la joie
L'on me l'a toujours otée.
Ai-je fait tant de choses mal
Dans mes années d'ignorance
Pour que le monde déchire mon voile
De toute sa haine la plus féroce?
Je le dis, je n'en peux plus -
Que l'on m'achève, que l'on me brise -
Je suis victime de vos abus
Je n'en peux plus de toutes mes crises...
Et me jetant dans le noir,
Ne sachant même pas où j'irai,
Je vous quitte dans l'espoir,
Que je finisse, quitte et vengé.
J'ai rejoint l'autre port...
J'ai atteint l'autre rive...
Ne me voyez pas comme mort...
J'ai arrêté de souffrir...
Je pars à cause de vous,
Parce que vous m'avez eu.
Je ne peux plus tenir debout
Face à la vie que j'ai vécue...
Quand le coeur nous pèse
Comme le poids d'un océan,
La force d'une vive tempète
Et d'un cyclone se battant.
Je palpite dans ma chambre,
Je me repose ces questions,
Je revis les mêmes sentiments,
Cette maladie qu'est ma passion.
Le bonheur m'a toujours fui
Alors que je lui tendais la main,
Et plus jamais mon oeil ne luit.
Il n'y aura pas de demain.
Sans jamais lever la voix,
J'ai avancé, de mon côté.
Et, quand j'ai eu de la joie
L'on me l'a toujours otée.
Ai-je fait tant de choses mal
Dans mes années d'ignorance
Pour que le monde déchire mon voile
De toute sa haine la plus féroce?
Je le dis, je n'en peux plus -
Que l'on m'achève, que l'on me brise -
Je suis victime de vos abus
Je n'en peux plus de toutes mes crises...
Et me jetant dans le noir,
Ne sachant même pas où j'irai,
Je vous quitte dans l'espoir,
Que je finisse, quitte et vengé.
J'ai rejoint l'autre port...
J'ai atteint l'autre rive...
Ne me voyez pas comme mort...
J'ai arrêté de souffrir...
Je pars à cause de vous,
Parce que vous m'avez eu.
Je ne peux plus tenir debout
Face à la vie que j'ai vécue...