En passant...
... en repartant.
Quand la vie a perdu tout son sens
Quand le bonheur a perdu son essence
Un vieil ami, toujours montre sa présence
La vie, la mort, lexomil, xanax, tercian...
Je ne sais plus quoi faire, la vie
n'offre rien aux gens bons qui triment
Oubliant même que celle-ci luit.
Dans l'aventure, la merde est éponyme...
J'ai aimé, j'ai aidé, j'ai toujours perdu
A la loterie de la joie, éternel déçu
L'on me préfère l'engence du démon
Celle qui tue, celle de la pénombre
Je suis seul, dans ma fierté et ma gentillesse
Je suis seul, et les vils me détruisent sans cesse.
Je suis seul, dans la vie comme dans la tristesse
Je suis seul, n'aurais-je jamais d'allégresse?
Quelle raison puis-je trouver?
Je ne suis pas stupide, ni laid
Mais jamais, à personne, je ne plais
Je ne suis pas celui qu'on veut garder
Que l'instrument qui les ramène à leur malheur
Un moment de joie, un instantané de bonheur
Avant qu'elles rejoignent leur vie de douleur
Elles ne veulent que ça, leur dernière heure
Est-il si mal de n'être qu'un homme bien?
Est-il normal d'entendre "je ne te mérite pas"
Même si je prenais la première qui passera
Toujours trahi, toujours laissé comme un chien...
Pourquoi ne voyez-vous pas ma noblesse
Je me suis tué pour vous, à maintes reprises
Je vous ai tout donné, toutes ces pertes
Pour que vous retourniez entre de mauvaises prises.
Je suis vaincu...
Laissez-moi...
Je ne vivrai plus
Aucun émoi...
Quand la vie a perdu tout son sens
Quand le bonheur a perdu son essence
Un vieil ami, toujours montre sa présence
La vie, la mort, lexomil, xanax, tercian...
Je ne sais plus quoi faire, la vie
n'offre rien aux gens bons qui triment
Oubliant même que celle-ci luit.
Dans l'aventure, la merde est éponyme...
J'ai aimé, j'ai aidé, j'ai toujours perdu
A la loterie de la joie, éternel déçu
L'on me préfère l'engence du démon
Celle qui tue, celle de la pénombre
Je suis seul, dans ma fierté et ma gentillesse
Je suis seul, et les vils me détruisent sans cesse.
Je suis seul, dans la vie comme dans la tristesse
Je suis seul, n'aurais-je jamais d'allégresse?
Quelle raison puis-je trouver?
Je ne suis pas stupide, ni laid
Mais jamais, à personne, je ne plais
Je ne suis pas celui qu'on veut garder
Que l'instrument qui les ramène à leur malheur
Un moment de joie, un instantané de bonheur
Avant qu'elles rejoignent leur vie de douleur
Elles ne veulent que ça, leur dernière heure
Est-il si mal de n'être qu'un homme bien?
Est-il normal d'entendre "je ne te mérite pas"
Même si je prenais la première qui passera
Toujours trahi, toujours laissé comme un chien...
Pourquoi ne voyez-vous pas ma noblesse
Je me suis tué pour vous, à maintes reprises
Je vous ai tout donné, toutes ces pertes
Pour que vous retourniez entre de mauvaises prises.
Je suis vaincu...
Laissez-moi...
Je ne vivrai plus
Aucun émoi...