Chanson d'été
Ecrite à Fab.
"Et il marche, et il marche
Ne r'gardant pas derrière lui
Plus rien ne le fâche
Seul il marche dans la nuit
Et tous les obstacles
Qui normalement blessent
Lui doucement les efface
De toute sa tendresse
Il me trouva là
Au bord du chemin
Au bord de ma voie
Et m'emmena bien loin
Il m'apprit que la vie
N'était que c'qu'on en fait
Un océan de folie
Où rien n'est parfait
Qu'il fallait s'en sortir
Sans jamais penser
A tous les sacrifices
Futurs comme passés
Que nos êtres innocents
Sont tous bien liés
Et que certaines évidences
Sont parfois erronées
Et j'écoutais les aventures
De cet humble philosophe
Et de sa belle nature
Me sont venues ces strophes
Et si tu savais de qui
J'acquis ce savoir
Tu serais bien surpris
Tu n'y croirais pas
Un drogué, un glandu
Tel que toi tu le vois
Mais qui n's'est jamais vendu
Au nom de la foi
Ce sage qui a su...
Faire ses propres choix."
"Et il marche, et il marche
Ne r'gardant pas derrière lui
Plus rien ne le fâche
Seul il marche dans la nuit
Et tous les obstacles
Qui normalement blessent
Lui doucement les efface
De toute sa tendresse
Il me trouva là
Au bord du chemin
Au bord de ma voie
Et m'emmena bien loin
Il m'apprit que la vie
N'était que c'qu'on en fait
Un océan de folie
Où rien n'est parfait
Qu'il fallait s'en sortir
Sans jamais penser
A tous les sacrifices
Futurs comme passés
Que nos êtres innocents
Sont tous bien liés
Et que certaines évidences
Sont parfois erronées
Et j'écoutais les aventures
De cet humble philosophe
Et de sa belle nature
Me sont venues ces strophes
Et si tu savais de qui
J'acquis ce savoir
Tu serais bien surpris
Tu n'y croirais pas
Un drogué, un glandu
Tel que toi tu le vois
Mais qui n's'est jamais vendu
Au nom de la foi
Ce sage qui a su...
Faire ses propres choix."