Chanson à Elle.
Ecrite suite à un de nos nombreux bilans...
"Il y a des histoires si banales
Qui pourtant n'en ont pas trop l'air
Qui font les paroles si glaciales
Et changent les coeurs en frigidaires
Je ne t'ai offert que moi-même
Apparemment c'était pas suffisant
Devais-je te couvrir de chaines
Ou bien te couvrir de diamants?
Tu me dis que tu m'aimes encore
Alors pourquoi être si guerrière
M'en voudras-tu jusque la mort
D'avoir été à ce point sincère?
Hélas tout n'est pas si facile
Crois-tu que je me laisserai faire
L'Amour c'est pas des Playmobil
Qu'on prend qu'on casse, et qu'on enterre...
Malgré tous ces désavantages
Je sais qui j'aime, sans hésiter
Toi la fille du fond de mes âges
Toi la belle qui m'a tant fait rêver
Et je me souviendrai toujours
De ce "je t'aime" que tu m'as jeté
Ce jour d'été, au fond d'un bourg
Où nous nous sommes enlacés
A cette époque nous étions faibles
Peut-être fous, ou juste inconscients
Mais après tout c'est cette fable
Qui dans ma tête a traversé les ans
Comment en est-on venu là?
Et quel en sera l'épilogue?
Ecrira-t'on un épitaphe
Sur notre trop long monologue?
Aujourd'hui je pense que je t'aime
Demain ce ne sera pas différent
Et ni mon âme, ni mon coeur saignent
Je ne suis plus celui d'avant
Et si je t'écris tous ces mots
Ces mots d'amour, et ces mots de rage
C'est pour tes yeux, ma foi si beaux
Petite Fille... pas si sage..."
"Il y a des histoires si banales
Qui pourtant n'en ont pas trop l'air
Qui font les paroles si glaciales
Et changent les coeurs en frigidaires
Je ne t'ai offert que moi-même
Apparemment c'était pas suffisant
Devais-je te couvrir de chaines
Ou bien te couvrir de diamants?
Tu me dis que tu m'aimes encore
Alors pourquoi être si guerrière
M'en voudras-tu jusque la mort
D'avoir été à ce point sincère?
Hélas tout n'est pas si facile
Crois-tu que je me laisserai faire
L'Amour c'est pas des Playmobil
Qu'on prend qu'on casse, et qu'on enterre...
Malgré tous ces désavantages
Je sais qui j'aime, sans hésiter
Toi la fille du fond de mes âges
Toi la belle qui m'a tant fait rêver
Et je me souviendrai toujours
De ce "je t'aime" que tu m'as jeté
Ce jour d'été, au fond d'un bourg
Où nous nous sommes enlacés
A cette époque nous étions faibles
Peut-être fous, ou juste inconscients
Mais après tout c'est cette fable
Qui dans ma tête a traversé les ans
Comment en est-on venu là?
Et quel en sera l'épilogue?
Ecrira-t'on un épitaphe
Sur notre trop long monologue?
Aujourd'hui je pense que je t'aime
Demain ce ne sera pas différent
Et ni mon âme, ni mon coeur saignent
Je ne suis plus celui d'avant
Et si je t'écris tous ces mots
Ces mots d'amour, et ces mots de rage
C'est pour tes yeux, ma foi si beaux
Petite Fille... pas si sage..."